Avec la Loi Industrie Verte, les actifs non cotés ont fait une apparition remarquée au sein de la gestion pilotée des dispositifs d’épargne en France. La tendance de ces dernières années était pourtant au principe de « Value for Money » pour les classes d’actifs cotées avec le développement des approches « low cost » en épargne individuelle (assurance vie / PERIN) et la génération d’économies d’échelle en épargne collective (PERCOL, PERO). Les pouvoirs publics ont donc pris l’industrie de court en y apportant une nouveauté avec l’introduction systématique, en gestion pilotée, du non coté sous forme de capital investissement et / ou de dette privée avec la panoplie habituelle d’anglicismes (Private Equity, Direct Lending…). Bref, après les ETF, c’est au tour des ELTIF d’être au centre du jeu.
Dans le cadre d’un premier d’article consacré aux mesures de la Loi Industrie Verte (épisode 1), les consultants Galea avaient décrit les attentes réglementaires vis-à-vis des actifs non cotés (critères de pondération dans les grilles de gestion pilotée notamment, présentation des familles d’actifs non cotés).
Le 2nd épisode porte à présent sur les modalités d’implémentation. Pour cela, les consultants Galea ont choisi au travers de cet article de faire part de leur interprétation des exigences requises par les textes en matière de véhicules, de témoigner des premières observations sur le marché et enfin d’attirer l’attention sur les points de vigilance liés à la conception / souscription de ces produits.
Pour lire l’article, c’est par ici ->Loi Industrie Verte et gestion financière en Epargne retraite – Episode 2